dimanche,21 juin, 2009 | Auteur: laurent
Eugene Shieffelin, à la tête d’une société d’acclimatation, essayait d’introduire en Amérique du Nord toutes les espèces d’oiseaux mentionnées dans les œuvres de William Shakespeare. En 1890, il a relâché une soixante d’étourneaux dans Central Park. Ils venaient d’Angleterre.
On en compte maintenant plus de 200 millions d’individus en Amérique du nord, provoquant la disparition d’espèces indigènes et un gros bordel.
L’étourneau c’est le souvenir d’immense bandes volant au dessus des vignes de ville. Ce sont les discutions dehors, de fin d’été, que l’on interrompait pour courir à l’abris lorsque l’on commençait à entendre le bruit de la fiente s’abattre sur le trottoir
Catégorie: Faune
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