Week-end sans avions. Pas un tracé de panache blanc grâce à un nuage de cendre quelque part entre ici et la gueule de l’Eyjafjöll.
Dans le ciel, à voir tout de même, les figures libres improvisées par pigeons et tourterelles.
Week-end sans avions. Pas un tracé de panache blanc grâce à un nuage de cendre quelque part entre ici et la gueule de l’Eyjafjöll.
Dans le ciel, à voir tout de même, les figures libres improvisées par pigeons et tourterelles.
Sorte de croisement entre la mouche, l’abeille,
le colibri (pour le vol stationnaire)
et l’éléphant.
Au moment ou nous pensions avoir fait le tour, d’avoir en un an et demi fait connaissance avec l’ensemble de la population des boules des plumes, une silhouette grise et casque noir s’est posée sur une branche de boulot pour repartir aussitôt.
C’était monsieur. Dans le tilleul, avec calotte brune, voici madame, vive, joyeuse et sifflotante.