Vous jetez bien les vieux maquillages, eh bien jetez aussi les vieux soucis. Ne les collectionnez plus. Ne les hébergez plus. Ils existent parce que vous les hébergez. Les soucis sont comme des marmonnements. Vous n’êtes pas tenus de les garder. Vous n’êtes pas tenus de leur donner le meilleur moment de la journée et encore moins une place dans votre cœur. Les soucis ne sont pas de l’amour ; ce sont des cordes qui vous ligotent et vous nouent. Dès à présent, Je défais les nœuds.

(1) Psaumes, 23, 5 d

Arf !

Recueillir et conserver

le plus longtemps possible

Ce matin les fleurs du liseron

font les oreilles de la pelouse, qui ramènent sous la terre

nos bruits et tout ceux des oiseaux.

Tout en étouffant le gazon bien sûr.

Partir juilletiste pour arriver aoutien.

Prendre la mouche : se vexer ou s’emporter sans raison apparente.

Prendre la mouche et courir le risque de tout gâcher, de tout perdre.

Nous avions cru à des larves de doryphore et commencé à s’inquiéter pour les tomates. Mais, non, plus colorées et effrayantes, dans quelques jours, nous aurons une nouvelle génération de coccinelles. Et là, ce sont les pucerons qui trembleront.

En voiture Simone !

Collision en plein vol

ou amour extravagant ?

Aujourd’hui

Saute mouton.

Quand Diderot parle des yeux des papillons dans “L’encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers” cela donne :

“(…)Les yeux des papillons  sont placés de chaque côté de la tête, où ils forment une portion de sphère saillante, qui n’est que la moitié d’une sphère, ou un peu plus ou un peu moins de la moitié ; ils font plus ou moins gros à proportion de la tête(…)”

Alors que l’on peut se borner à dire : “Les papillons ont vraiment des yeux de fous, que c’en est presque effrayant !”