Des conversations à l’étage, désinvoltes, quand soudain un cri, haut perché, gonflé par l’horreur, la peur. Une course dans les escaliers, un corps qui pousse à la fuite, descendre à toute vitesse et en bas devant mon aire étonné, on reprend ces esprits, on fait mine de rien, on dit juste : « Une araignée », dans un souffle. Mais en haut, la voix de celle qui est restée, qui précise : « une araignée complètement morte en fait ».
Et si on allait plutôt faire un tour dans le jardin ?