La cane est revenu et nous a laissé un bel œuf. Elle semble l’avoir abandonné et une semaine après nous n’avons retrouvé qu’une coquille vide maltraitée par les pies.
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Tous les ans je me rapproche un peu plus. Il a accepté une photo de près puis a filé et ne m’a plus laissé l’approcher. Merci. J’aurai aimé l’avoir alors qu’il me tire la langue, mais merci.
Arrivée vers 10h elle a passé un moment sous la mangeoire à grignoter les graines laissées par les autres voraces, elle a fait un tour dans le jardin, s’est couché dans les fleurs, nous a regardé, Marie et moi, faire une partie de badminton puis s’est couché sous la corde à linge. Puis vers midi elle est repartie.
Ils sont partout. Au pied du tilleul, sous l’appentis, dans les jardinières sous la boite aux lettres. Avec l’hiver qui a été clément, il faut s’attendre à une invasion cet été de ces bestioles.
Elles ne sont pas méchantes, ne font pas peur, ne saccage la cuisine à la recherche de sucre, sont inodores (ce qui pour une punaise n’est pas commun) mais les voir en masse sur les troncs des arbres a quelque chose d’un peu effrayant.
D’un autre côté c’est peut être leur nombre qui attire autant d’oiseaux dans ce vieux tilleul.
J’étais persuadé que c’était une nonette. Mais les tâches blanches à l’arrières sont significatives m’a t’on dit. Mais franchement j’aurai préféré une nonette. C’est tout de même plus joli à dire et à écrire. Je veux dire cela a plus de charme. Le gars qui a trouvé ce nom là ne s’est pas contenté d’utiliser la première couleur venue lui.