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Cette année le poirier est dans la tendance économique
en produisant royalement
DEUX poires.
Ce qui pour une tarte est un peu juste mais assez pour une amandine…
A condition d’y ajouter :
1 gousse de vanille
1 citron jaune
1 l d’eau
220 g de sucre
Crème d’amande
100 g de beurre doux
100 g de sucre semoule
2 œufs
100 g de poudre d’amandes
2 cuillères à soupe de farine
A noter, qu’une seule poire suffit à illustrer une expression populaire à deviner.
Un jour nous avons aperçu un écureuil dans la maison, quelques secondes avant qu’il ne détale en direction du jardin pour disparaître.
C’était il y a longtemps. Maintenant ce sont les balanins qui mangent les noisettes. Avec bien moins de charme.
– N’empêche que laisser négligemment pousser quelques mauvaises herbes sauvages permet d’avoir quelques mûres…”
– Le mûrier donne des mûres, ce truc c’est de la ronce commune qui donne des mûrons.
– C’est pas loin d’être pareil non, je veux dire niveau fruit ?
– Ben oui.
– Tu dis cela juste pour me mettre en boite non ?
– Ben oui.
Selon la légende, au début de tout, les framboises étaient blanches.
En ce temps, Ida la fille de Mélissé roi de Crète était la nourrice du jeune Zeus pour l’élever en secret de son père Cronos. Elle le nourrissait du lai de la chèvre Amalthée et de miel.
Pour calmer les colères du jeune dieu, elle lui aurait cueilli des framboises et se serait griffé un sein nu dont le sang aurait coloré les fruits à jamais.
– Viens, allons voir s’il y a des noisettes prêtes à être mangées.
– Cela me semble un peu tôt pour la saison non ?
– Regarde, certaines sont déjà tombées, c’est quand elles sont fraîches qu’elles sont les meilleurs. Bon sang, je me damnerai pour ses fruits là ! Je te les ouvre avec mes dents ?
Conseil du jour : Après chaque verre de vodka de fabrication artisanale, se manger une tomate cerise.
C’est le poirier planté en début d’année pour remplacer celui trop vieux qui nous fait déjà une douzaine de fruits.
Seulement, aujourd’hui j’ai l’impression que c’est des figues qu’il nous prépare.
Les dernières de l’année déjà presque trop mures, qui font un peu moins envies que les premières dont on a guetté les fleurs et la transformation du fruit pendant des semaines, sans trop savoir quand battre la chantilly.